Les événements qui se déroulent en Ukraine en ce mois de février 2022 plongent le monde dans un état de sidération. Le terme, tant redouté, de « guerre » ressurgit dans toute sa noirceur. Il fait irruption avec violence en Europe et dans nos consciences.

Sur nos calendriers, le solstice d’hiver est indiqué à une date bien précise, le 21 décembre. Il s’agit du jour où la nuit est la plus longue. Comme dans le balancement d’un pendule qui arrive à l’extrémité de sa course, nous pouvons le ressentir comme un temps d’arrêt.

Publication de cinq articles de qualité dans le journal Le Monde : à découvrir. Lorsque des journalistes se sont manifestés auprès de divers représentants de la Société anthroposophique, en France comme au Goetheanum, et d’autres institutions, nous avions des bonnes raisons pour montrer une réserve a priori.

Y a-t-il eu influences, collusions, parentés, porosité, entre l’anthroposophie de Steiner et le régime nazi ? Si ce fut le cas, dans quelle mesure peut-on affirmer que d’une part les idées de Steiner auraient-elles alimenté les conceptions racistes et pangermanistes ?

La dignité c’est quelque chose qui se voit et qui se sent. Plus que d’être pensé, cela se ressent. C’est une élégance de l’être, de l’âme, qui se voit sur le physique. Elle se manifeste par une tenue, une grâce, une générosité même.

Dans sa manière de raconter l’expérience enfantine, l’auteure en arrive à troubler les limites franches que nous avions apprises à établir entre l’enfant et l’adulte mature, et nous saisissons mieux comment chaque épreuve de vie nous invite à naître une seconde fois, à partir d’en-haut.

Comme tous les hommes portent en eux-mêmes la même richesse et la même image divine, ils sont égaux et respectables, quelques soient la couleur de leur peau, leurs traditions et leurs coutumes. Ils portent tous la même dignité.

Le 13 mars 2021, Constanza Kaliks, membre du Comité directeur de la Société anthroposophique générale au Goetheanum, a donné pour le public français une conférence en ligne.

Le mystère de la “nature virale” peut être abordé par une approche anthroposophique qui vient compléter les descriptions de la science conventionnelle. Elle la complète avec des notions fonctionnelles et explicatives.

Pour la médecine anthroposophique, la vaccination contre le SARS-coV-2 aide à endiguer la pandémie de COVID-19 et doit être aussi accompagnée d’un traitement renforçant la résilience.

Discussion avec des représentants du gouvernement du Land de Bade-Wurtemberg en Allemagne.

Le comité de la Société anthroposophique en France prend à cœur de formuler, à l'occasion de ces temps si particuliers, ses souhaits chaleureux à l'adresse de toutes et tous.

Si la situation sanitaire collective est inédite, elle mérite une méthode inédite. Une recherche féconde demanderait d’intégrer différentes formes de pensées.

Marie de Hennezel: Je veux parler du silence qui entoure le décès d’une personne et de l’absence de rituels au moment de son décès.

Le 16 octobre, un professeur de l’Education Nationale a été égorgé en région parisienne par un islamiste fondamentaliste. Ce crime d’une horreur insoutenable a ravivé les débats sur la laïcité à la française.

Inès Morrone anime dans les locaux du siège les ateliers PEINDRE A PARTIR DE LA COULEUR. Nous vous proposons quelques extraits d’un entretien très enrichissant.

La résilience serait la capacité pour la collectivité de se prémunir des risques, tout en accueillant au mieux les capacités de chacun pour consolider l’ensemble.

La dignité de tout être humain consiste en sa liberté et sa responsabilité pour ses propres actes.